Terra Nova dresse un bilan raisonné des primaires et avance quatre propositions dans le débat public pour poursuivre le mouvement engagé en 2011.
Synthèse
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Terra Nova dresse un bilan raisonné des primaires et avance quatre propositions dans le débat public pour poursuivre le mouvement engagé en 2011.
Plusieurs organisations, dont l'IFRAP, ont récemment répété qu’une baisse des consommations d’énergie est incompatible avec la croissance économique. Cette note démontre que, portée par l'efficacité énergétique, elle est au contraire un moteur pour la compétitivité d'une économie, en plus d'être un impératif social et une condition du respect des engagements environnementaux.
Le projet de loi sur la transition énergétique fixe un objectif de division des consommations d’énergie par deux d’ici 2050. Lors de la lecture à l’assemblée nationale, les députés y ont adjoint un objectif intermédiaire de baisse de 20% d’ici à 2030 par rapport à l’année 2012. Mais en commission, les sénateurs ont déjà supprimé ce deuxième objectif, ce qui remet en cause sans le dire l’objectif à 2050 : si des efforts substantiels pour baisser les consommations d’énergie ne sont pas réalisés dans la prochaine décennie, il sera quasiment impossible d’atteindre un objectif plus ambitieux d’ici le milieu du siècle
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Ce rapport de Terra Nova, issu d'un groupe de travail pluridisciplinaire présidé par Martin Richer, est une réponse à une note de l'Institut Montaigne portant sur un grand nombre de sujets touchant au marché du travail et à l'emploi. Il pointe des désaccords tant au niveau du diagnostic que des propositions. Assurance-chômage, réforme des retraites, capacité de négociation des partenaires sociaux, durée du travail ou encore place de l'Etat sont quelques-uns des thèmes abordés dans cette discussion critique.
Synthèse
De nombreux pays, dont les Etats-Unis ou l'Uruguay, ont changé d'approche dans la lutte contre la drogue, et le cannabis en particulier. Comment expliquer cette évolution ? La politique de répression est doublement coûteuse : elle est onéreuse et inefficace. La France se situe en effet parmi les plus gros consommateurs de cannabis par habitant en Europe. Dans cette étude, Pierre Kopp, Christian Ben Lakhdar et Romain Perez mesurent l'impact de trois scénarios possibles pour sortir cette politique de l'impasse. C'est la légalisation de la production, de la vente et de l'usage dans le cadre d'un monopole public qui apparaît comme la politique la plus apte à contrôler la consommation et à permettre la prévention nécessaire.
La politique du cannabis a pris une nouvelle direction dans de nombreux pays. Plusieurs Etats ont récemment évolué dans leurs pratiques : la « guerre à la drogue »[1], coûteuse et inefficace, y a laissé place à des approches fondées sur la tolérance au cannabis, voire dans certains cas, à la légalisation.
Jean-Rémi Girard dans le débat "le redoublement... by terranova
Même si le redoublement a nettement reculé au cours des cinq dernières années, la France reste dans le palmarès de tête des pays qui font le plus redoubler leurs élèves.Cette pratique est aujourd'hui très débattue parmi lesenseignants, chefs d’établissement et inspecteurs.Certains soulignent son inefficacité pédagogique et son coût. D’autres mettent en évidence le fait que le redoublement constitue une « seconde chance » pour des élèves trop faibles qui autrement ne pourraient pas poursuivre leur scolarité. D’autres enfin n'y adhérent pas mais faute d'un autre choix que de « faire redoubler un élève ou l’abandonner à ses difficultés », ils y ont parfois recours.
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